Le sadomasochiste n’est pas seulement une pratique sexuelle qui se découvre dans chaque personnalité des participants, mais c’est une discipline qui nécessite beaucoup d’efforts mental et physique.
La punition est accordée
On ne sait plus comment on va interpréter cette pratique de dominance, parce que c’est juste un principe difficile à comprendre. Logiquement, les punitions infligées ne sont pas normales et cela n’a aucun sens, surtout une provocation de plaisir, mais quand on en devient acteur, on comprend mieux. « Se faire mal pour s’exciter », c’est vrai que tout notre corps sent une frustration quand on a mal, mais cela n’a rien de drôle également. Ce qui est tout à fait le cas dans une séance de BDSM, les participants, surtout celui ou celle qui prend le rôle du dominant est très concentré. C’est plutôt logique quand on pense la manière dont il va traiter cette personne.
Comment assurer sa domination ?
C’est différent de dominer une femme ou un homme, mais dans la plupart des cas, la dominante est la femme et le dominé est l’homme. Tout simplement parce que cet homme vient de tromper sa femme, alors il mérite la punition.
Le respect de chacun
Chaque action que nous faisons est en accord avec notre partenaire. Le programme est donc prévu et on ne fait rien sans l’acceptation de l’un que de l’autre. Si dans cette pratique, cette règle de respect n’est pas considérée, on peut dire qu’il y a de la violence méritant un emprisonnement.
On utilise le bon langage
La BDSM a un dialecte spécial surtout pour donner des ordres. D’une part, on ne supplie personne, et même à ses pleurnicheries ou ses cris, ce sont des actes convenus et donc, il n’y a pas de tolérance.
Dans le total plaisir de la soumise, le dominant va exécuter les ordres de le frapper, de le sucer, de jouer avec son trou du cul, de l’attacher encore plus serré, et d’autres.