Les etapes du deroulement d’une seance a la BDSM

BDSM ou Bondage, Domination, Soumission, et Masochisme, est une pratique qui comprend un jeu de rôle entre les couples. Les conditions sont simples : le respect, le règlement, ainsi que du plaisir réciproque.

Qui prend le rôle du Maître en premier ?

Puisque c’est un jeu de rôle, on peut tirer au hasard celui qui prend le rôle du dominant en premier. Pour activer déjà la phase préliminaire, le couple peut faire le jeu de société et le gagnant prendra le rôle du maître en premier. Pour accélérer les choses, il est possible de faire à la pile ou face. Mais dans la plus logique des choses, ce sont les hommes qui dominent.

Ce maître est une personne qui n’a pas de défauts, qui n’est pas émotive et qui suit les règles à la lettre. Le but du maître est que l’esclave puisse arriver à son orgasme et atteindre le plus profond de ses désirs sans se plaindre. Il ne s’agit pas de tuer son esclave, mais de lui faire subir des atrocités diverses.

Ce jeu est codifié

Le jeu de BSDM est établi par un planning discipliné. C’est la soumise qui écrit les étapes des actions que le maître doit faire. Si celle-ci arrive à retenir jusqu’au bout de la séance, elle devient le donjon et c’est elle qui élabore les règles quand elle va dominer son homme à son tour. Si elle abandonne au milieu des étapes, le maître va élaborer le planning quand elle domine et elle doit faire tout ce qui est dit dans le planning. 

On n’oublie pas les rites

Dans le rituel de la pratique BDSM, on se met nu. On a le droit de filmer et de partager les actes sur les comptes nudes afin de recevoir des invités au prochain rendez-vous. Le maître a le droit d’avoir des invités et à la fin de la séance, le couple devrait servir leurs invités de quelques clichés de leur vie sexuelle hors du jeu de rôle.

Le couple doit faire l’étape de la consolation en privé. C’est le moment où les pardons doivent se partager, ou les caresses et les bisous sont au rendez-vous, et c’est aussi un instant où le couple passe en acte sexuel. Ensuite, ils vont mettre du pansement sur les blessures et demande à l’autre de le pardonner en partageant tout ce qui peut lui passer par la tête en faisant l’acte. C’est aussi une sorte de confession afin de ne pas avoir de la rancune de l’un envers l’autre.

Les matériels utilisés

Tous les accessoires utilisés dans ces pratiques viennent de la boutique de sextoys. Les cordes et les fouets ainsi que les chaînes et d’autres machines de tortures ont été testés pour ne produire aucun danger à leur usage. Il est possible d’avoir des traces et des plaies et peut-être un écoulement de sang, mais pas de danger qui peut rendre la soumise handicapée ou tuée même. Il peut y avoir des tortures morales, mais le couple peut consulter un psychologue si vraiment les images les hantent ou affectent l’un des acteurs.

Si les règlements ont été suivis à la règle, pratiquer le BDSM n’est pas un acte qui peut conduire à la justice, par contre, si la torture devient une violence, cela mérite la prison.

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